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Les applications mobiles géolocalisées en cours de géographie

Par Jérôme Staub - Dernière modification 17/01/2011 10:09

Retour à la lettre d'information géomatique n°9

m-learning

Introduction

L’usage des téléphones portables chez les adolescents (collégiens et lycéens) s’est considérablement démocratisé depuis plusieurs années. Selon un sondage TNS-Sofres d’octobre 2009, près des trois-quarts (73%) des adolescents de 12 à 17 ans déclarent posséder un téléphone portable (77% des filles et 70% des garçons). Ce sont les plus âgés, les lycéens donc, qui sont le plus équipés : 95% des 16-17 ans disposent d'un téléphone, contre 76% des 14-15 ans et 49% des 12-13 ans.

Ce phénomène de massification des équipements se double de l’arrivée sur le marché des smartphones : véritables mini-ordinateurs, ils embarquent aussi les fonctions d'un assistant numérique personnel. Ses fonctionnalités sont donc multiples : agenda, navigation Web, consultation de courrier électronique, messagerie instantanée, GPS, etc.
Si ces nouveaux usages se démocratisent, le smartphone ne servant qu’accessoirement à téléphoner, il est bien souvent proscrit dans le cadre scolaire ; objet de la sphère privée, il n’est pas considéré comme un outil d’apprentissage.
Pourtant, de nombreuses applications liées notamment à la puce GPS pourraient s’inscrire dans les apprentissages géographiques. Associées à une sortie de terrain, elles peuvent induire une approche différente des territoires, liée à une nouvelle perception de l’espace vécu ou parcouru. Mêlant réel et virtuel, elles participent d’une “géographie augmentée”.
Comment est-il envisageable d’intégrer de manière raisonnée ces nouveaux outils dans l’enseignement de la géographie, sans pour autant succomber aux sirènes de l’innovation technologique ?

I. Pourquoi utiliser des smartphones dans le cadre de l’enseignement ?

 

A. Enjeux de la géolocalisation

geolocalisation mobile
La géolocalisation, c’est-à-dire l’opération qui consiste à associer à un élément, quel qu’il soit, ses coordonnées géographiques, occupe une place particulière dans les tendances fortes du Web d’aujourd’hui et de demain. De plus en plus de pages Internet embarquent une carte de localisation  de ses usagers ou se spécialisent dans la gestion de ces localisations. Par ailleurs, les services de cartographie en ligne ne cessent de se diversifier. Ces services couvrent des champs très variés, de la localisation des acteurs d’un réseau, ceux du réseau social Twitter par exemple, à une offre de services, comme la localisation des magasins dans une localité.
Cet engouement est par ailleurs nourri par une palette de plus en plus large d’applications destinées aux téléphones mobiles équipés de GPS, les smartphones. Le marché de ces derniers est en plein essor.
L’Atelier BNP Paribas a présenté le 7 décembre 2010, les résultats d’une enquête réalisée par IFOP sur le thème : “Les français et la géolocalisation“. Cette enquête réalisée sur un échantillon de 995 personnes, représentatif de la population française, âgées de 18 ans et  plus, montre les liens qui unissent géolocalisation et téléphonie mobile. On y découvre une utilisation importante  de la géolocalisation sous ses différents. Par exemple, 65 % des Français sont équipés d’un dispositif GPS.
Si l’on décline les différents types de dispositif GPS, on constate une prédominance importante des GPS embarqués dans les véhicules ( 10% pour un système embarqué dans une voiture, 48% avec un système portable de voiture).
Cependant, la progression la plus importante depuis deux ou trois ans revient aux systèmes de localisation via smartphones.  Près de 20% de la population utilise de tels téléphones. Parmi les logiciels de géolocalisation, Facebook Places, pourtant lancé récemment, représente déjà près de 21 % des usages, en tête de ce genre d’applications.
A l’évidence, les smartphones et leurs applications géolocalisées induisent de nouveaux rapports à l’espace géographique, aux territoires. Ne serait-ce que dans cette perspective, ces outils et leurs usages, tant par les élèves que par les enseignants, ne peuvent que susciter notre interrogation. Par ailleurs, à l’heure où les programmes de Géographie aussi bien de collège que de lycée font une plus large place à l’”espace proche”, Il est donc tentant d’utiliser ces outils, “familiers” des élèves, pour une autre approche des territoires étudiés, lors de sorties notamment. Enfin,  il paraît important d’éduquer les élèves à  une utilisation raisonnée de leurs mobiles et de ne pas la cantonner aux simples applications de lecture audio et de réseaux sociaux. Elle permettrait, en outre, de mobiliser de manière différente des ressources qui sont souvent exclus de l’espace d’enseignement pour leurs utilisations classiques.
Montrer qu’un objet comme le téléphone mobile peut aussi servir dans un cadre d’enseignement sans pour autant légitimer d’autres formes d’usages, a pour vocation aussi de modifier le regard  et susciter la réflexion des élèves sur le mobile et l’usage qu’ils font de celui-ci.


B. Eduquer à la mobilité ?

baladodiffusion

Éduquer à la mobilité renvoie à la notion anglo-saxonne du “mobile learning”, terme que l’on peut traduire par “apprentissage mobile”. Il peut se définir comme toute forme d’apprentissage utilisant des technologies portables : ordinateurs de poche (netbooks), lecteurs MP3, ordinateurs portables et téléphones mobiles.
De ce point de vue, plusieurs études ont permis de déterminer les usages possibles de ce type d’enseignement, en particulier autour de la balado-diffusion (diffusion de fichiers audio ou vidéo et téléchargement sur un baladeur ou un ordinateur portable, afin de les écouter).

L’article “La baladodiffusion en éducation : mythes et réalités des usages dans une culture mobile”, publié dans la Revue internationale des technologies en  pédagogie universitaire revient sur l’usage des baladeurs MP3 en situation d’apprentissage en à l’université. Si les résultats apparaissent positifs dans l’ensemble, l’utilisation du baladeur comme outil d’apprentissage et non de loisirs reste délicate.
Hors du champ de la baladodiffusion, les retours d’expériences sur les apprentissages mobiles dans un cadre scolaire sont peu nombreux, en particulier avec des smartphones. Un gros dossier publié sur le serveur suisse de l’éducation éclaire sur les utilisations possibles des smartphones en milieu scolaire. Si ce dossier a le mérite d’exister, il met surtout en avant les logiciels dédiés à l’iPhone, sans véritablement aborder les applications de géolocalisation .. Éduquer à la mobilité par les outils mobiles reste pour l’heure à l’état embryonnaire car lié, d’une part, à l’évolution technologique et, d’autre part, aux choix pédagogiques des enseignants.

II. Quelles applications utiliser ? pour quelles finalités ?

 

  A. La multiplication des applications exploitant le GPS des smartphones

mini GVSIG
Les téléphones mobiles intègrent de plus en plus de fonctions. Les smartphones sont devenus de véritables tout-en-un. Ils intègrent ainsi les principales fonctions d'un ordinateur de bureau ou encore d'un GPS. Tout naturellement, les applications développées pour les smartphones sont en grande partie des transpositions de logiciels ou encore de services disponibles sur ces outils. Ainsi est-il aujourd'hui possible de se passer d'un GPS de randonnée ou encore de navigation routière. Citons par exemple les applications lauréates du concours 2010 du Géoportail de l'IGN : TomNav et Iphigénie qui remplacent avantageusement pour les utilisateurs d'un iPhone l'absence d'un GPS de randonnée. Les systèmes d'information géographique ne sont pas en reste. Mini GvSIG est la version mobile du SIG libre GvSIG. ESRI s'est également lancé dans l'aventure.
Cependant, les applications destinées à la téléphonie mobile ne sont pas uniquement des transpositions. Elles intègrent de plus en plus la dimension spécifique des smartphones, à savoir leur mobilité. Cette prise en compte de la mobilité peut être examinée sous deux angles, celui  des données émises ou importées et d'autre part, celui des interactions permises par le mobile.
google_navigation

 

L'importation de données est particulièrement développée. Elle permet de superposer des couches de localisation des données supplémentaires, soit directement à partir de l'application de géolocalisation, soit à partir d'une application qui recourt à la géolocalisation. Dans le premier groupe, nous pouvons citer les applications développées par Google (Google Maps, Google Navigation, ...). Dans le second, peuvent être classées certaines applications qui mettent en œuvre la réalité augmentée. Cette technique consiste à insérer, dans une prise de vue réelle, des éléments virtuels. Elle superpose en quelque sorte un modèle virtuel sur une perception en temps réel grâce au mode vidéo présents sur les smartphones. Elle crée une sorte d’entre deux entre le monde “réel” (puisque vécu par l’intermédiaire de la caméra) et les univers virtuels. L’une des plus connues est Layar. Il s'agit d'un navigateur à réalité augmentée qui fonctionne sous Android et depuis peu sur iPhone. Il utilise de nombreuses bases de renseignements (Wikipédia, Flickr, infos sur les lieux touristiques, les ventes immobilières...). Il offre donc des couches supplémentaires de données qui s’affichent en temps réel en fonction de la localisation. Cette application a, par exemple, suscité des démarches artistiques collaboratives comme celle de l’artiste américain Christopher Manzione. Il a reproduit deux types de sculptures Symmetry and Growth en de nombreux points du monde. Il a engagé d’autres artistes à enrichir sa couche de données afin de constituer un Virtual Public Art Project (VPAP), un musée imaginaire ouvert sur le monde libre et public. L'importation de données personnelles se développe également mais les opportunités sont encore restreintes. Pour poursuivre avec l'application Layar, il est possible de créer ses propres jeux de données.

Mytracks

A l'inverse, l'exportation de données créées avec une application est de plus en plus répandue. Par exemple, Google MyTracks, dont le code source a été publié par Google au mois de mai 2010, permet d’enregistrer ses déplacements, via la puce du GPS, sous plusieurs formes : un tableur dans Google Docs, un fichier KML que l’on peut lire et modifier dans Google Earth et / ou Maps, un fichier gpx (format d'échange des données géolocalisés pour les GPS). Comme beaucoup, il fournit aussi des indications sur le temps passé entre deux points définis du parcours et le niveau de dénivellation du terrain. On peut définir aussi des points de repères, comme une étape de parcours. Les exportations sont aussi nombreuses vers d'autres logiciels, notamment la diffusion via les réseaux sociaux, mais aussi un code HTML d’embarquement direct de la carte pour une page de site ou de blog.
Enfin, certaines applications permettent d'interagir à différents niveaux. Le premier niveau ne recourt pas à la géolocalisation : il s'agit de partager des données géolocalisées. Ainsi, certaines applications comme Mini GvSIG ou Google My Track les exportent-elles vers les réseaux sociaux. Le second niveau utilise les fonctions de géolocalisation. Certaines permettent de partager des lieux et donc une territorialité. C'est le domaine notamment du geocaching, c'est-à-dire de parcours développés à des fins ludiques ou touristiques dont les étapes sont découvertes au fur et à mesure du circuit. Citons, par exemple, Visicity qui propose une promenade agrémentée d'énigmes dans le 5e arrondissement de Paris, depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours. Citons également Foursquare qui combine interaction avec ses "amis" via certains réseaux sociaux et interaction avec les lieux (obtention de "badges"). Enfin, il est possible d'interagir avec ses "amis" en fonction de leur localisation. C'est ce que propose Google latitude.

B. Quelles finalités éducatives ?

mitar
L’usage du GPS lors des sorties de terrain est assez ancien et souvent associé aux  SVT et, dans une moindre mesure, à la géographie. La principale difficulté de ce type de démarche, outre l’organisation de la sortie elle-même, est l'exploitation des données, assez complexe aussi bien dans sa mise en place technique que dans son organisation souvent chronophage.
L’intérêt premier des applications proposées est leur simplicité d’usage et la rapidité avec laquelle les données peuvent être rapatriées ou publiées.
Dans le cadre des cours de géographie, au collège comme au lycée, les sorties de terrain ont un intérêt indéniable dans l’approche pédagogique de l’organisation de l’espace. En 6ème, les programmes invitent ainsi à procéder à une sortie dans son espace proche. Les thématiques du développement durable et la généralisation des études de cas sont par ailleurs des éléments propices aux découvertes de terrain. Dans une autre perspective, comme celle de l'histoire des arts, l’usage d’applications mobiles apporte une meilleure compréhension de certains sites, notamment les lieux patrimoniaux ou les musées.
On peut distinguer plusieurs pistes d’exploitation de ces applications :
- la création d’un trajet, d’un parcours au fur et à mesure d’une visite par les élèves qui en profitent pour solliciter d’autres éléments multimédias disponibles sur le mobile : images, vidéos, textes associés. Une partie du travail se fait aussi en classe avec la reprise des données GPS du parcours et l’ajout de données textuelles, d’images, de sons, de vidéos. Ces “témoignages” complètent le parcours et rendent compte de l’espace vécu ou parcouru par les élèves. Ainsi, l’équipe Eductice de l’INRP a mené, en 2009-2010 une expérimentation de jeu en réalité augmenté sous forme d’un jeu de rôle :”Développement durable et citoyenneté : des énergies renouvelables à Sète”.
- la création du parcours est réalisée au préalable par l’enseignant. Il peut être connu à l'avance par les élèves. Les étapes de la visite sont alors agrémentées de questions et d'animations. Les étapes peuvent aussi être soumises à la sagacité des élèves qui doivent les découvrir à partir des différents indices qu'ils peuvent relever. Cette dernière forme est fortement inspirée du geocaching.
raspouteamIl peut également être envisagé de créer ce type de parcours avec des QR Codes, sorte de code barre à scanner via avec le  téléphone mobile, qui peut apporter de nouvelles indications aux élèves. On peut signaler l’initiative du collectif Raspouteam qui a créé et mis en place vingt QR Codes en céramique dans Paris. Ces lieux ont été le théâtre de désordres importants dans la ville parisienne à différentes époques (Commune, veille de la Première guerre mondiale, mai 68...). On obtient des informations supplémentaires sur ces évènements : texte, images, vidéos. On retrouve ces différents lieux sur un site optimisé pour une lecture avec smartphone. La ville de Bordeaux est également en pointe dans ce domaine.

 

 

 

III. Deux exemples d’applications à la croisée des chemins

 

A. Géolives

géolives

L’application Géolives, gratuite sur iPhone, exploite les cartes de la base Google. Les dalles du Géoportail sont également accessibles mais nécessite un abonnement dont le coût est un obstacle pour équiper une classe entière, même répartie en plusieurs groupes, en vue d’une sortie sur le terrain. L’application exploite le GPS intégré au smartphone pour tracer un itinéraire, déterminer la vitesse de progression ou encore mesurer le dénivelé du parcours réalisé. Certaines fonctions de cette application se révèlent très intéressantes pour une sortie. L’utilisateur peut, d’une part, recevoir des données externes (Wikipédia) et, d’autre part, exporter son parcours et les données associées sous la forme d’un fichier au format .kmz) .
Il peut également éditer des repères et y associer des commentaires et des photographies. Un compte en ligne offre d’autres fonctions, notamment l’importation sur son mobile d’itinéraires, mais ce service est payant.

 



B. Kinomaps

kinomap

Kinomaps est un service en ligne qui permet d’intégrer sur un parcours enregistré grâce au GPS des vidéos prises au cours du trajet.  Ainsi, à l'écran, lorsqu'on lance la vidéo, on voit évoluer le petit personnage au même rythme sur le trajet. Comment ça marche ? Il suffit d'un enregistreur GPS  et d’un caméscope.
Le montage se fait dans le logiciel KinomapUploader qui permet de faire un montage succinct mais efficace de la vidéo puis de gérer le rythme de synchronisation avec le tracé GPS. On peut visualiser le tout en ligne.
Par ailleurs, il existe une application pour smartphone Kinomapmaker (pour Android et iPhone) qui permet d’enregistrer une vidéo en même temps que le trajet GPS. Par contre, il est difficile d'imaginer des retouches à la vidéo par la suite. Il s'agit alors de ne pas se tromper !
Les exportations sont nombreuses, notamment un lecteur que l'on peut embarquer sur un site.

Conclusion

Éduquer à la mobilité , enseigner la géographie avec des outils mobiles relèvent de nombreux défis
L’utilisation des appareils mobiles ne va pas de soi dans le cadre scolaire où il est traditionnellement banni. L’usage d’un objet, privé, de communication et de loisirs dans un tel cadre n’est pas non plus une évidence, notamment pour les élèves.
Disposer d’une importante dotation en smartphones est une étape clef mais délicate : objet avant tout individuel, il est parfois lié à des offres payantes. Par ailleurs, il est tout aussi délicat d’avoir le temps nécessaire à la création et à l’exploitation en classe de ces expérimentations.
Les smartphones s’enrichissent sans cesse de nouvelles fonctionnalités qu’il est délicat d’anticiper. Or, le risque obsolescence rapide de certains modèles doit être prise en compte au moment de la constitution des vœux de dotation.
Malgré ces multiples obstacles, recourir, de manière raisonnée, à ce type d’outil constitue, à terme, un enjeu de l’éducation aux nouvelles technologies, en particulier à la géographie numérique.

Références

 

Etude sur les français et la géolocalisation : http://frenchweb.fr/les-francais-et-la-geolocalisation/

Education à la mobilité :

“Les trois quarts des ados ont un portable...” dépêche de l’AFP : http://www.google.com/hostednews/afp/articl/ALeqM5gYvngr0BOZ2eevindZPUMgyg6VFA

Le Mobile learning
Définition de Wikipédia : http://en.wikipedia.org/wiki/MLearning
Sites de références sur le Mobile Learning :
http://www.m-learning.org/
http://mlearning.wordpress.com/

http://ocarbone.free.fr/blog/?p=381
http://cc.mlearnopedia.com/
http://www.benbonnet.com/TEPS_pres/player.html


Expérimentations autour de la baladodiffusion :
La baladodiffusion en Histoire-Géographie : http://www.histoire.ac-versailles.fr/spip.php?article802
Plate-forme de mutualisation de l’académie de Rouen : http://podcast.ac-rouen.fr/
Expérimentations dans l’académie de Versailles : http://www.youtube.com/watch?v=7SF_aXVc3VA
Retour d’expériences à l’université : http://www.ritpu.org/spip.php?rubrique47&lang=fr
Dossier sur les usages des smartphones en milieu scolaire : http://www.educa.ch/dyn/219804.asp


La multiplication des applications exploitant le GPS des smartphones
Art, culture et réalité augmentée : http://geeknaute.blogspot.com/2010/04/quand-culture-et-art-riment-avec-layar.html


Quelles finalités éducatives ?
Utiliser le logiciel MITAR pour créer un jeu de rôle : “Développement durable et citoyenneté : des énergies renouvelables à Sète” :
http://eductice.inrp.fr/EducTice/projets/geomatique/jeu-et-apprentissage/jeusete
Prise en main du jeu MITAR : http://eductice.inrp.fr/EducTice/projets/geomatique/geoeduc3d/mitar
Utiliser les QR Codes pour découvrir Paris, le projet du groupe Raspouteam : http://raspouteam.org/QR/
Utiliser les QR Codes en classes : http://www.needocs.com/document/mobile-learning-qr-codes,5679
Réalité augmentée et Code 2D dans la ville de Bordeaux : http://geographie2point0.wordpress.com/2010/07/28/realite-augmentee-et-code-barres-2d-a-bordeaux/

Deux exemples d’applications à la croisée des chemins

Géolives : http://geolives-media.com/
Kinomaps : http://www.kinomap.com/


Auteurs : Cyrille Chopin, professeur d'Histoire-Géographie-Éducation Civique au collège Léo Lagrange, Le Havre (76), membre du pôle de compétences (TICE) de l'académie de Rouen, professeur associé à l'INRP et Jérôme Staub, webmestre de la veille géomatique (INRP)





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